En tant qu’organisation, Patinage Canada possédait un système de comptabilité désuet qui utilisait beaucoup de papier, n’avait pas de structure de rapports pour les détails des transactions et n’était pas soutenu par une infrastructure TI appropriée. Le système était tellement inefficace que les employés de Patinage Canada devaient écrire et signer de millier de chèques papier tous les mois à la main. Comme si ce n’était pas assez, cet ancien système était en fin de vie et la garantie avait expiré et était constamment en panne.
Patinage Canada avait également des décennies des documents historiques qui lui coûtaient 36 000 $ par année d'entreposage dans un entrepôt à Edmonton qui se trouvait à plus de 2 400 km. Lorsqu’il y avait des demandes pour qu’une séquence vidéo soit utilisée à la télévision ou dans une publicité, la distance rendait l’accès à l’information plus difficile et parfois Patinage Canada ne respectait pas l’échéance. Dans certains cas, les images n’étaient même pas en bon état. L’information était stockée sur une multitude de types de médias (VHS, BETA, disques durs, cassettes audio, etc.) et certains étaient en détérioration.
Aux six championnats annuels ou même plus, Patinage Canada avait besoin de 5 à 15 imprimantes afin d’imprimer les horaires et les programmes pour les spectateurs et les documents de notation pour les juges et les entraîneurs. Cependant, la location à court terme d’imprimante était très dispendieuse et les appareils envoyés étaient en fin de ligne ou d’occasion : ce n’était pas la technologie nécessaire pour rendre l’impression plus efficace. De plus, les volontaires qui imprimaient les documents pour les événements en imprimaient beaucoup trop selon la quantité distribuée généralement, entraînant ainsi un énorme gaspillage de papier.